Ils nous soutiennent : 

Olivette G. (Bruxelles)
«  Mon fils n’avait que 4 jours lors de son opération de transposition des gros vaisseaux. Réopéré à 14 ans, il reste aujourd’hui victime d’arythmies. Nul n’est à l’abri d’un problème cardiaque, soutenir les chercheurs pour faire avancer le médecine est essentiel.  »

Anne R. (Bruges)
«  J’étais en liste d’attente pour une greffe cœur-poumons quand un nouveau traitement m’a été proposé qui m’a donné une seconde vie. C’était il y a 18 ans. Aujourd’hui, deux nouveaux médicaments remplacent ce traitement et ajoutent du confort à cette vie. Je veux faire avancer la recherche avec l’espoir que les chercheurs trouvent un jour les moyens de me guérir.  »

Pierre D. (Waterloo)

«  Un stupide accident de la route à 17 ans m’a valu, 1 an après, d’être opéré d’une importante chirurgie thoracique–aortique. 40 ans plus tard, le sentiment d’être passé par le chas de l’aiguille ne m’a toujours pas quitté. J’ai envie de témoigner toute ma reconnaissance pour cette vie qui m’a été donnée après l’accident.  »

Mady L. (Liège)

«  Depuis l’opération cardiaque, il y a 40 ans, de notre fils cadet alors âgé de 3 ans, je cultive ma gratitude envers les médecins en soutenant l’action du Fonds. Je suis très consciente de l’importance des besoins financiers de la recherche médicale et de la nécessité d’y contribuer pour repousser les frontières de la maladie et de la mort.  »

«  Victime d’un infarctus, mon mari a bénéficié d’un sursis de vie grâce aux progrès de la médecine. La recherche fait des miracles et doit continuer.  »

«  Le monde associatif joue un rôle complémentaire à celui des pouvoirs publics. L’amélioration de la qualité des soins repose sur une activité de recherche qui mérite d’être encouragée.  »