Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de décès des femmes en Belgique. Pourtant dans l’imaginaire collectif, les hommes sont les plus concernés. Quelles sont les conséquences de cette vision tronquée sur la gestion des facteurs de risque, la prise en charge et le suivi des recommandations selon le genre ? C’est l’objet de la thèse de doctorat de Pieter Vynckier, financée par le Fonds et défendue avec succès cet été à l‘université de Gand. Des recherches qui appellent des travaux complémentaires comme des enquêtes plus qualitatives ainsi que l’inclusion d’un nombre plus élevé de femmes dans les essais cliniques.
Pour en savoir plus, lire l’article de Christian Du Brulle, publié sur www.dailyscience.be le 22 mars 2022